Jour 1 : Se dresse comme un seul homme : comment s’appelle cette aiguille rocheuse marquante ?
Jour 2 : Une des montagnes les plus connues du canton, bien visible depuis la capitale.
Jour 3 : Un sommet marquant de 3000 mètres, photographié près d’une ligne de partage des eaux continentales.
Jour 4 : Marquant, connu, mais difficile à gravir.
Jour 5 : Un casse-tête : ce sommet de 3000 mètres des Grisons n’en abrite certes pas, mais ils sont présents dans le nom du sommet.
Jour 6 : Presque un cadeau : comment s’appelle le sommet avec la calotte de névé ?
Jour 7 : Perspective inhabituelle : comment s’appelle le célèbre massif tout à droite ?
Jour 8 : Deuxième Avent : comment s’appelle le sommet boisé et discret au centre de l’image ?
Jour 9 : Le Horn, qui s’appelle comme le lac, est en haut à droite. Et le sommet au centre ?
Jour 10 : Deuxième casse-tête : bien que beaucoup plus bas que ses voisins, le sommet au centre de l’image réserve de longues voies d’escalade bien fréquentées.
Jour 11 : Le sommet marquant du milieu est recherché, mais moins connu et moins fréquenté que son voisin de gauche.
Jour 12 : Un des sommets grisons les plus connus à l’extrême droite, lequel ?
Jour 13 : Troisième casse-tête. En route vers un sommet dont seul le nom a des points communs avec l’énigme du 5 décembre.
Jour 14 : Presque la pleine lune : derrière quel sommet se trouve-t-elle ici ? Astuce : la photographe se trouve devant une cabane du CAS.
Jour 15 : Troisième Avent : comment s’appelle le sommet en question ?
Jour 16 : Le sommet à gauche est une destination de randonnée à ski connue et très fréquentée en venant de l’autre côté.
Jour 17 : Lequel de ces sommets porte le nom d’un célèbre explorateur alpin ?
Jour 18 : Le plus haut sommet du massif avec un panorama complet sur des sommets encore plus hauts…
Jour 19 : Aussi connu pour ses escalades en fissures qu’exigeant : comment s’appelle le clocher à droite ?
Jour 20 : Sur quel sommet d’escalade le soleil se lève-t-il ?
Jour 21 : Indice : à gauche, près du col du glacier, la cabane du CAS qui porte presque le même nom.
Jour 22 : Pour le quatrième Avent, un sommet frontalier tessinois, ici visiblement le côté suisse.
Jour 23 : Moins haut qu’il n’y paraît : comment s’appelle ce sommet enneigé de plus de 2000 mètres ?
Jour 24 : Et pour terminer : comment s’appelle la vallée au pied de ces sommets ?
La montagne est un espace de liberté pour la nature autant que pour l’Homme. Il s'agit d'apprendre à la découvrir tout en veillant au délicat équilibre entre son appréciation et son exploitation. Les traces laissées par l'Homme jouent un rôle particulièrement important à cet égard. Mountain Wilderness s'inscrit en faux contre une tendance qui reste, malgré les aberrations qu'on lui reconnaît, largement dominante. Une tendance qui vise l'établissement d'une emprise toujours plus totale et capillaire de l'Homme sur la nature, une tendance qui se traduit dans une prolifération de constructions et d'infrastructures. De notre point de vue, il faut aujourd'hui plus que jamais apprendre à déconstruire, à effacer ses traces au lieu de vouloir en laisser pour la postérité. C'est justement à cela qu'est consacré le projet "Installations obsolètes".
Les contreforts glaciaires: derniers espaces sans traces humaines
Avec la fonte des glaciers, de plus en plus de "nouvelles terres" apparaissent. Les traces humaines y sont à peine visibles, ces zones étant marquées par des dynamiques naturelles. Une rareté en Suisse qu'il s'agit de protéger contre les demandes d'exploitation invasives. Le présent article se base sur une excursion de deux jours à laquelle l'auteur a participé.
L’année prochaine, on remet ça ! Inscris-toi dès maintenant pour notre action de démantèlement de deux jours dans l’Entlebuch et aide-nous à retirer des centaines de mètres de barbelé de la nature. La faune sauvage te remerciera !